Le compresseur de la Ninja H2 est l'œuvre des motoristes de la division moto de Kawasaki, lesquels ont été épaulés pour la circonstance par d'autres sociétés du Groupe KHI.

Par autorisation exceptionnelle, la Ninja H2 a l'honneur d'arborer le « River Mark », l'emblème réservé aux modèles légendaires de la marque depuis ses origines.

La Ninja H2 est la toute première moto Kawasaki à recevoir d'origine un quick shifter.

Par son aspect futuriste, le tableau de bord donne l'impression d'être aux commandes d'un avion de chasse. À portée de main, les commodos facilitent la gestion des modes de pilotage et de l'affichage.

À l'avant, le freinage est confié à deux énormes disques Brembo semi-flottants de 330 mm de diamètre et de 5,5 mm d'épaisseur.

La priorité étant donnée au plaisir de l'accélération et de la vitesse de pointe, la selle n'est proposée qu'en version monoplace.

L'emploi d'un cadre treillis offre une solution élégante et légère permettant d'obtenir les performances attendues de la partie-cycle d'une machine de circuit.

L'embrayage hydraulique de grande qualité demande moins d'entretien, tout en préservant le feeling initial du levier. De plus, ses composants Brembo garantissent une progressivité et une douceur remarquables.

De ce fait, les réglages sont prévus pour qu'à faible vitesse, l'amortisseur ne pénalise pas la légèreté naturelle de la direction. À grande vitesse en revanche, l'amortissement se durcit pour renforcer la stabilité.

Si, de profil, la Ninja H2 n'adopte pas la posture plongeante de la plupart des supersportives modernes, cela ne doit rien au hasard...

La peinture noire à effet miroir de la Ninja H2 a été spécialement développée par Kawasaki pour les motos. Elle crée une surface très réfléchissante qui accentue encore le design spectaculaire de la machine.

La Ninja H2 inaugure le tout premier monobras de Kawasaki.

Les ingénieurs ont opté pour une boîte à crabots afin d'optimiser la douceur et la rapidité de la sélection. Ce type de boîte se rencontre couramment en MotoGP et en Formule 1 ; celle-ci a été développée avec l'aide du Kawasaki Racing Team.

Tout moteur a besoin de respirer... Par conséquent, il faut non seulement se préoccuper du volume d'air admis, mais aussi de la façon dont il est admis.

Malgré son architecture familière à quatre cylindres en ligne, le bloc de la Ninja H2 regorge de technologies spécialement étudiées pour cette version suralimentée.

À l'avant, la fourche racing Kayaba AOS-II fait sa première apparition sur une moto de route. À l'arrière, le mono-amortisseur Kayaba entièrement réglable procure une excellente stabilité.

Les jantes en aluminium coulé ont été spécialement dessinées pour la Ninja H2.

Pour préserver la compacité du moteur et sa simplicité, un circuit de graissage unique alimente en huile de refroidissement les organes moteur, le compresseur et la boîte de vitesses.

La Ninja H2 dispose de tout l'éclairage nécessaire à un usage sur route. À l'exception de l'ampoule de plaque minéralogique, tout le reste de l'éclairage est à LED.